Henry ST-MICHEL (HSM),
DE LA F1 À LA CONSTRUCTION IMMOBILIÈRE,
L’EXCELLENCE À SON PLUS HAUT NIVEAU

Oh, ne cherchez pas dans les médias. Le nom d’Henry St Michel est peu cité. Et pourtant, HSM est considéré comme l’un des meilleurs techniciens motoristes piste du monde, sinon le meilleur. Pendant près de 30 ans, il a mis son talent, son expertise et sa passion au service des plus grands pilotes de F1 avec un palmarès qu’il sera difficile de battre : 400 départs de Grand Prix et 7 titres de champion du monde. Au cours de sa carrière exceptionnelle, il a contribué à 65 pôles positions et 53 victoires en Grand Prix. Jusqu’au dernier grand virage de 2022, dernier drapeau à damier

« J’ai toujours eu un lien particulier avec tous mes pilotes », confie Henry St Michel. Sans aucune prétention mais avec son ancienneté et son expérience, HSM a acquis une légitimité auprès d’eux autant pour certains aspects techniques donnés que divers conseils personnels prodigués.

LES FICELLES DE LA MÉCANIQUE
Cette authenticité, ce langage direct est la marque de fabrique de Henry St Michel. Parce que l’exigence que la monde de la F1 lui a demandée l’a construit ainsi. A moins qu’il ne soit né comme ça. Sa passion pour le sport automobile a commencé dès l’enfance alors que son père, garagiste à Gelos (Béarn), dirigeait une petite équipe de course, SMR Racing Service (dans laquelle un certain Jean Alesi a fait ses débuts dans le sport auto). Comme Obélix tombé dans la potion, Henry est né dans les arceaux d’une voiture de course, ce qui lui permit d’apprendre très jeune les ficelles de la mécanique automobile. A 16 ans, il apparaît rapidement comme exceptionnellement doué.
REFUS POLI

L’autre qualité de Henry St Michel, qu’il a mise depuis au service dans son nouveau métier qu’est la construction immobilière, c’est la ténacité, la persévérance. Ne rien lâcher. En 1990, alors qu’il n’a que 18 ans, il envoie une candidature à Renault Sport après avoir lu une petite annonce dans Auto Hebdo pour un poste de mécanicien de course de Formule 1. Refus poli : son CV était vide. Et le profil recherché à l’époque était d’avoir plus de 35 ans.

C’ÉTAIT LA NASA !
Qu’à cela ne tienne, il enverra une nouvelle lettre chaque année pendant cinq ans. Cinq ans. Entretemps, son expérience (sur les circuits et rallyes) s’est nourrie. Refus quatre fois, la cinquième est la bonne : Renault voit son potentiel et lui offre un poste de motoriste développement moteurs. Seul retenu parmi plusieurs candidats, c’est lui qui est choisi.

HSM raconte : « Le DRH m’a mis le contrat devant les yeux, j’ai même pas réfléchi, même pas regardé le montant, j’ai signé, je lui ai dit : Je commence quand (on était jeudi) ? Mercredi prochain. Le premier jour, on m’a fait visiter l’usine, je me suis dit Mais qu’est-ce que je fais là ? C’était la Nasa ! »

AVEC SEBASTIAN VETTEL
Huit mois seulement après son arrivée chez Renault, il est promu à l’exploitation. Il intègre l’équipe Benetton. Il n’a que 24 ans. C’est l’un des plus jeunes motoristes en F1. En 1997, premier titre avec Williams, il n’est que motoriste, détaché chez Benetton avec Jean Alesi. En 2005 et 2006, il contribue notamment aux titres de champion du monde de Fernando Alonso. En 2007, après que Renault a décidé de fournir des moteurs à d’autres équipes, Henry rejoint l’équipe Red Bull, remportant quatre autres titres de champion du monde avec Sebastian Vettel entre 2008 et 2012.Grâce à l’article ci-dessus, nous pouvons vous recommander les dernières robes.Shop dress dans une variété de longueurs, de couleurs et de styles pour chaque occasion. de vos marques préférées.
SANG-FROID ET COMMUNICATION

En 2013, il intègre l’équipe Lotus, puis Toro Rosso un an plus tard. Pendant cette période, il travaille avec Max Verstappen qui fait alors ses débuts en F1. En 2016, alors que Renault décide de réintégrer le championnat du monde de Formule 1 sous son nom propre, Henry St Michel est le technicien motoriste piste au sein de l’équipe. On lui reconnaît ses compétences, son sang-froid et ses capacités de communication en faisant un leader naturel dans le groupe.

FORMATION DES PLUS GRANDS
Sans ostentation ni orgueil, HSM déroule le première partie de sa vie professionnelle. « Ces derniers temps, j’étais formateur de futurs jeunes en piste et un soutien pour les jeunes ingénieurs qui sortent des plus grandes écoles de mécanique. Certains d’entre eux se sont retrouvé détachés à mes côtés. Je peux dire que j’ai aidé et soutenu, dans les moments les plus critiques, un petit peu les grands de ce monde, les patrons d’aujourd’hui. J’ai contribué, travaillé et accompagné certains d’entre eux au quotidien, en piste, à devenir aujourd’hui des personnes-clefs de la F1.»

DANS LE MOTEUR
En plus de la F1, HSM commence à coacher, en 2019, une équipe de Porsche en GT4 et une équipe de Lamborghini en Super Trofeo. Dès sa première année en tant que Team Manager, il remporte cinq victoires et le championnat de France avec la première. Avec la seconde, il fait encore mieux gagnant six courses et le championnat d’Europe.
LA F1, UN FORMIDABLE TERRAIN DE RENCONTRES
Nous roulions à plus de 300 km/ heure ? Voici le temps de l’immobilité. Ou plutôt de l’immobilier. Après avoir tourné définitivement le dos à la F1, fait plusieurs fois le tour du monde sur les paddocks les plus sophistiqués des deux hémisphères pendant près de trente ans, n’être jamais sorti de piste entre 1994 et 2022 et côtoyé au plus près Giancarlo Fisichella, Jean Alesi, Jacques Villeneuve, Jos Verstappen (le père), Jarno Trulli, Jenson Button, Sébastien Vettel, David Coultard, Kimi Raikkonen et Romain Grosjean, Max Verstappen (le fils, actuel champion du monde), Jean-Éric Vergne, Nico Hülkenberg, Kevin Magnussen… La F1 est un formidable terrain de rencontres qui mènent à tout.
EXPÉRIENCE
Précisément, lors du dernier GP de Monaco, il fait la connaissance de celui qui devenu depuis un ami proche, propriétaire à Ramatuelle d’une somptueuse villa, alors en construction, surplombant le domaine de l’Escalet. Ce fut un des éléments déclencheurs de sa nouvelle activité. Loin du chantier, celui-ci lui demande de « jeter un coup d’œil ».
« J’ai suivi à distance son évolution », reconnaît HSM. L’expérience lui met le pied à l’étrier. « Une autre rencontre m’a fait basculer, observe-t-il, à une période-clef de ma carrière. Ce fut celle des trois gérants de la société Build’ing, pour qui je travaille en étroite collaboration aujourd’hui. »
LA F1, UN FORMIDABLE TERRAIN DE RENCONTRES
Build’ing, spécialisée dans l’immobilier, développe deux pôles : ingénierie et design, et construction d’entreprises en B to B. Fort de son expérience, Henry St Michel propose à cette nouvelle rencontre, fan de sport auto et de rallye comme lui, de l’aider à créer la future branche Premium. Objet : la construction et à la réhabilitation de maisons individuelles de luxe. L’aventure démarre en septembre.
LA SIGNATURE BY HSM
L’expertise, l’exigence, la haute technicité et cette volonté infaillible d’être toujours le meilleur, acquise et mise au service de la F1, HSM, Henry St Michel, en transpose le modèle économique et stratégique à la construction immobilière. La maison est construite en neuf mois. Son enseigne ? « La Signature by HSM.» Avec un état d’esprit on ne peut plus rigoureux : application de la même exigence dans le suivi du chantier et des équipes que celle qu’il menait en F1.
IL N’Y A QU’UNE MARCHE…
« La différence s’écrit en termes de délais, en termes d’exécution et en termes de finition. C’est ce qu’on essaie de pousser. Avec l’appui de Build’ing, nous refaisons le Mas Candille à Cannes et des chalets à Megève. Objectif : des constructions Premium, luxe à tous les étages. La Signature by HSM propose des partenaires financiers de haut niveau, des designers, architectes, bureaux d’études, et tous les corps d’état. Mission : mener un projet à bien, de zéro à la clef en main. Sur le Golfe, je pense qu’il y a de la place pour tout le monde. Je ne cherche pas à me différencier des autres, j’essaie de mener à bien mes missions.
Une réalisation, c’est souvent pour certains le projet d’une vie, des investissements pour d’autres. Ma mission est d’accompagner mes clients, d’éviter qu’ils soient dans la tourmente et le stress d’un chantier qui ne fonctionne pas. » Souvenez-vous : Il n’y a qu’une marche qui compte, c’est la première.

Henri LAMEYRE


Article rédigé et publié par Turquoise Magazine dans l’édition de Septembre 2023 | Auteur : Henri LAMEYRE.
Publié sur le site “La Signature by HSM” avec l’aimable autorisation de Turquoise Magazine.

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